www.anciensverts.com

Retrouvez les résultats du week-end en Angleterre et aux Emirats Arabes Unis en cliquant sur ce lien

Romain Gallien, ancien membre du centre de formation de l'ASSE entre 2000 et 2002, rejoint les rangs de la MDA Chasselay, club de CFA2. Il retrouve 2 anciens membres du centre de formation, Benoît Subrin et Ismaël Amari.

Remy Baccam, ancien membre du centre de formation de l'ASSE entre 2004 et 2006, a rejoint depuis octobre 2007 les rangs d'Ain Sud, club de Honneur régional de la Ligue Rhône-Alpes.

L'ancien Lion Indomptable partage sa vie entre France et Cameroun et représente sn pays dans bon nombre d'actions humanitaires.

Roger Milla, depuis quelque temps, on vous a presque perdu de vue. Que devenez-vous ?

Je suis toujours là. Entre le Cameroun et la France, plus précisément Montpellier où vivent mes enfants. Au Cameroun, j'occupe les fonctions d'ambassadeur itinérant de la Présidence de la République de celle d'ambassadeur de l'ONUSIDA pour le continent africain. Je suis également les activités de ma jeune fondation. Je m'intéresse au sort des enfants des détenus et à celui des enfants de la rue. Par ailleurs, je viens de lancer un programme de reconversion des anciens footballeurs camerounais.



Que fait concrètement un ambassadeur itinérant ?

Je suis à la disposition du chef de l'Etat. Mais depuis que j'ai été nommé à ce poste en 2000, j'espère toujours qu'on me précise les attentes. Cela dit, je suis logé par l'Etat, qui me verse également un salaire à la fin du mois. Mais je ne me croise pas les bras pour autant. Je véhicule la bonne image de mon pays partout où je passe. J'essaye de le représenter dans tous ses aspects, au niveau sportif et même diplomatique. Sans fausse modestie, mn nom seul suffit pour satisfaire les gens.


Le football camerounais est en perte de vitesse en ce moment, êtes-vous consulté ?

(Il s'emporte) Pas vraiment. Au début, le nouveau ministre des Sports me consultait, notamment pour les questions relatives à la bonne marche de l'équipe nationale. Il m'a par la suite demandé de me rapprocher de la fédération, mais ce n'est pas à moi de faire le premier pas. Je ne veux pas usurper un poste. Je pense, pourtant, qu'il faut donner la possibilité aux anciens joueurs de choisir un entraîneur.


La jeunesse revient régulièrement dans votre discours, pourquoi manifestez-vous un tel intérêt pour les jeunes ?

Les jeunes Africains doutent et désespèrent. Il faut leur donner des occasions de rêver. Au Cameroun, par exemple, il y a un manque criant d'infrastructures sportives. Ma fondation a lancé un programme de construction de hangars et de gymnases à travers le pays. J'ai monté un dossier que j'ai soumis à certaines collectivités territoriales en France. Ce serait vraiment une bonne chose si les élus français nous appuyaient sur ce vaste programme. J'ai également contacté mon ami Louis Nicollin, le seul président qui a cru en moi au-delà du terrain.


Vous venez de vous lancer dans l'écriture en publiant un livre : l'Epreuve de ma foi ou l'histoire d'un buteur devenu ambassadeur. Quel accueil l'ouvrage a-t-il reçu ?

(Un sourire illumine son visage). Assez bon, je dirais même bon, Je profite de l'occasion pour remercier le Président de la FIFA, Sepp Blatter, qui m'a pris 30 exemplaires. J'espère que mon ami Platini, nouveau président de l'UEFA , et la Fédération Française de Football feront la même chose. La traduction anglaise est déjà prête.

Comment se déroule vos journées ?

Je reçois beaucoup. Je pratique beaucoup de sport. JE fais du vélo, du basket, du tennis. Je dirige également une équipe de handball, le TKC Handball Filles.

Interview de Brice M'Bézé
France Football du 3 août 2007.

Consulter la fiche de Roger MILLA sur ce lien.

Les Anciens Verts buteurs en France :

Voici les buteurs en France depuis l'ouverture de la saison 2007-2008.

Grégory Dutil mène toujours le classement en France.
3 joueurs sont désormais sur la deuxième place du podium : Piquionne, Jau et Samy Houri qui vient de mettre 4 buts en 1 mois.

Les Anciens Verts buteurs à l'étranger :

A l'étranger, les buteurs sont séparés suivant le type de championnat (été-été ou bien janvier-décembre).

Eté-Eté

La fiche d'Yvon Pouliquen

Sur le site de l'OGC Nice (www.ogcnice.com), Frédéric Antonetti se montrait satisfait de la prestation de ses joueurs même s'il regrettait que son équipe n'ait pas su se mettre à l'abri. « Nous avons fait ce qu'il fallait. Le dernier match avant la trêve est toujours compliqué à gérer pour un entraîneur, les valises sont déjà prêts pour les vacances ... Nous sommes donc content de bien l'avoir négocié. Je regrette néanmoins que nous n'ayons pas marqué ce second but, nous nous sommes heurtés à un très bon Penneteau. L'équipe de Valenciennes est très joueuse, même à dix ils nous ont posé beaucoup de problèmes. Il aurait fallu marquer le second, nous avons eu six occasions nettes en seconde période. »

Puis l'entraîneur niçois profitait de ce dernier match de l'année pour dresser un bilan à mi-parcours. « Je félicite ce groupe pour la première partie de saison, mais le plus dur commence. Le championnat est très serré, les choses ne sont pas décantées. A la fin de l'hiver, dans la dernière ligne droite, on verra quelles équipes resteront en haut pour jouer quelque chose. »

Source : Football365.fr

Non reconduit en juin dernier à Saint-Etienne, Ivan Hasek rebondit à Al Ahly, quadruple champion des Emirats arabes unis (1975, 1976, 1980, 2006). L'entraîneur tchèque a annoncé samedi qu'il avait signé six mois au club basé à Dubaï, un poste pour lequel il était en concurrence avec l'ex-sélectionneur de l'équipe de France Jacques Santini. «Je prends immédiatement mes fonctions, car Al Ahly dispute le 28 décembre un important match de coupe», a indiqué Ivan Hasek. Ce départ est aussi un retour aux sources : l'ancien joueur de Strasbourg avait déjà entraîné un club émirati, Al Wasl, avant de partir pour Saint-Etienne.

La fiche d'Ivan Hasek

Source : L'Equipe

Joseph Antoine-Bell et Roger Milla vont participer au "Match pur la paix et la réconciliation" en Côte d'Ivoire, le 29 décembre, à Abidjan, au stade Houphouët-Boigny. D'autre stars africaines telles que Abedi Pelé, George Weah, Michaël Essien doivent également participer à cette rencontre ainsi que Djibril Cissé.

En lever de rideau, une sélection ivoirienne mixte (avec des représentants des factions rivales) rencontrera une équipe de l'ONU et des forces spéciales françaises de l'opération Licorne.

Sources : France Football et le Courrier du Vietnam

Ce vendredi midi était effectué le tirage au sort des 8èmes de finale de la Ligue des Champions ainsi que des 16èmes de finale de la Coupe de l'UEFA. Voici le tirage des clubs de nos anciens joueurs

Ligue des Champions

Lyon - Manchester Utd
Schalke 04 - Porto

Les 8èmes de finale auront lieu les 19 et 20 février , matchs retours les 4 et 5 mars.
 

Coupe de l'UEFA

Anderlecht - Bordeaux
Marseille - Spartak Moscou
Aberdeen - Bayern Munich
Slavia Prague - Tottenham

Les rencontres de Coupe de l'UEFA auront lieu les 13 et 14 février 2008, matchs retours le 21 février

Alors que Paul le Guen a été maintenu lundi à son poste par le président du PSG, Sylvain Armand se confie sur cette première partie de saison qui est un fiasco et sur un mercato attendu pour sortir de la crise. Le latéral gauche fait son mea culpa et lance un appel aux actionnaires pour qu'ils donnent plus des moyens financiers au club.

«Sylvain Armand, Paul Le Guen reste l'entraîneur du PSG. Quels commentaires cela vous inspire et en avez-vous parlé entre vous ?
On n'en a pas parlé et ce n'est pas une surprise. Le contraire aurait été par contre une surprise. Il a toujours tout fait pour le club et si les principaux responsables du club pensent qu'il doit rester, c'est qu'il doit rester. Ca a bien marché en fin de saison dernière et il ne faut pas oublier que ce sont les joueurs qui sont sur le terrain. A nous de trouver la solution.

Avez-vous le sentiment du «devoir accompli» alors que la trêve arrive ?
Pas du tout. On n'est pas satisfait et c'est la première année depuis le début de ma carrière que c'est comme ça. Mais il y a une deuxième partie avec autant de matches. Ce sera à nous de prouver qu'on peut s'en sortir, de rectifier les choses et de montrer autre chose que ça. Je pense que ce sera encore un peu difficile mais il faudra bien s'en sortir.

Souhaitez-vous que l'équipe soit renforcée au mercato ?
Si on peut avoir un coup de main, oui. J'ai toujours été pour les renforts et que cela soit synonyme d'un plus. Je suis pour mais c'est là-haut que ça se décide.
Maintenant, je pense qu'un gros chèque pour aider l'équipe, c'est à réfléchir quand même. Si on veut des joueurs intéressants, il faut faire des efforts, ce serait bien pour le club, l'équipe. Il faut se donner les moyens mais ce sont les responsables qui décident.

Il y a des noms qui circulent, Fred, Tiago, Mavuba. Vous suivez ça ?
Oui, ce sont des joueurs d'expérience. Ils sont internationaux mais nous ne décidons pas de qui viendra !

Aurez-vous les moyens de faire un bon résultat à Saint-Étienne ?
Tout n'est pas tout rose à Saint-Étienne non plus et je pense qu'il y a la possibilité de faire quelque chose. Ce ne sera pas évident mais comme à l'extérieur, on n'est pas trop mauvais, on va se battre.

Sylvain, on vous a vu énervé après la défaite à Caen (1-0) vis-à-vis de Ceara. Contre Toulouse, Landreau et Camara ne se sont pas compris. L'ambiance est-elle toujours aussi bonne ?
Je n'ai jamais critiqué Ceara, on a mal interprété mes propos. J'étais énervé, c'est vrai car on avait misé gros sur le match contre Caen. On ne devait pas prendre de risques et la défaite a fait mal. J'aurais pu faire la même erreur à Auxerre quand je perds le ballon. Ceara sait que ce n'était pas dirigé contre lui, on en a parlé tous les deux. Il y a toujours une bonne ambiance même si on aimerait que la situation du club soit meilleure.»

Propos recueillis par Christophe Michel, au camp des loges.
Source : L'Equipe

Allaedine Yahia n'a pas été retenu pour la prochaine CAN en janvier 2008 dans le groupe de la Tunisie. Un autre ancien stéphanois, Abel chedli, sans club actuellement, ne fait également pas partie de la sélection concoctée par Roger Lemerre, sélectionneur de la Tunisie.

Source : L'Equipe

La fiche de Yahia
La fiche de Chedli

 

Julien Sablé n'est pas à la fête depuis son arrivée au Racing Club de Lens mais il n'est pas question de rendre les armes. L'ancien Stéphanois compte bien s'imposer chez les Sang et or. Sinon...

Julien Sablé, vos premiers pas au Racing Club de Lens se révèlent plus compliqués que prévus. Que se passe-t-il ?
Ce n'est pas évident mais je m'accroche. Mes débuts ne sont pas catastrophiques. On est toujours déçu de ne pas jouer tous les matches mais cette situation m'a permis de faire de gros progrès sur moi-même. Je suis quelqu'un d'impulsif mais, aujourd'hui, je bosse sans faire de vagues. Je n'ai pas encore montré mon vrai visage. Mais toutes les conditions n'ont pas forcément toujours été réunies.

C'est-à-dire ?
Je ne me cache pas derrière des excuses mais ça a été un vrai déchirement de quitter Saint-Etienne. Après douze ans là-bas, j'ai eu besoin d'un certain temps d'adaptation pour trouver mes marques au Racing. En plus, j'ai eu certains pépins physiques qui n'ont pas facilité les choses. Mais je n'ai pas de regrets d'être venu au Racing. Au contraire. Je veux m'imposer chez les Sang et Or.

Le départ de Guy Roux ne vous a également pas facilité les choses ?
Bien sûr. J'étais son choix. J'étais venu pour travailler avec lui. Mais, maintenant, je commence à revenir à mon meilleur niveau pour être celui du nouvel entraîneur.

Justement, comment se passent vos relations avec Jean-Pierre Papin ?
Très bien. Je comprends qu'il soit amené à faire des choix. A mon poste, nous sommes six joueurs de très bonne qualité à postuler pour une place de titulaire. Il y aura forcément des gens malheureux. C'est le coach. Et il fait ses choix.

« Je ne suis pas là pour faire le nombre »

Comment vivez-vous cette situation ?
Je gère cette période positivement Je ne suis pas déstabilisé mais ce n'est pas une partie de plaisir. On n'a pas vu le vrai Julien Sablé. Je peux faire beaucoup plus. Je me sens de mieux en mieux. J'ai un statut à respecter. Et je vais me battre pour être à la hauteur. Le jeu en vaut la chandelle.

Vous serez donc toujours au Racing à la fin du Mercato d'hiver ?
C'est mon souhait. Je veux faire mon trou dans cette équipe mais il faut m'en donner l'opportunité. Je ne suis pas là pour faire le nombre. Je veux être un élément important sinon ça ne sert à rien. Il faudra voir avec les dirigeants.

Des équipes étrangères (Allemagne, Espagne) vous suivraient. Avez-vous des pistes ?
On entend pas mal de choses mais on verra en temps voulu. Mon agent (ndlr : Christophe Mongai) s’occupe de tout ça. En tout cas, en cas de départ, ce ne sera pas pour un autre club français. Il sera temps de passer à autre chose.

La fiche de Julien Sablé
Source : http://www.mercato365.com
 

Retrouvez les résultats du week-end pour la Ligue 1, la Coupe de France et le CFA en cliquant sur ce lien

Malgré les trois divisions d’écart qui les séparaient du Paris FC, les joueurs de l’US Feurs ont été à l’hauteur de l’évènement. Les Franciliens, qui ont marqué le seul but du match à cinq minutes de la fin, s’en sortent bien.

Samedi soir, au stade Rousson, il n’y avait pas que le vin chaud qui a réchauffé les 1500 spectateurs venus braver le froid pour assister à ce huitième tour de coupe de France entre Feurs et le Paris FC. En effet, les joueurs foréziens ont fait parler le cœur tout en élevant leur niveau de jeu, techniquement, mais aussi physiquement. Alors que Jean-Guy Wallemme ne pouvait compter pleinement sur son effectif, Hervé Didier alignait son meilleur onze possible. Et le « petit poucet » a bien failli connaître une entame cauchemardesque lorsque El Abbassi dégageait à l’emporte pièce, mais plus de peur que de mal pour le défenseur central. On ne jouait que depuis deux minutes. Les quarante-trois autres de la première période ont tout simplement été à l’avantage de l’US Feurs. Jérôme Second, par deux fois, puis Sébastien Riou d’une superbe demi-volée mettaient au supplice le portier du Paris FC.

Houri au bout du suspense
A la mi-temps, les Foréziens pouvaient croire en leur chance, faisant jeu égal avec les pensionnaires du National. Ils réalisaient même une grosse performance à l’image du tonique Nordine Chergui qui éteignait peu à peu le feu follet Kinkela. Le gardien ligérien, Johan Balouzet, jusque là au chômage technique réalisait des prouesses comme sur cette tentative à bout pourtant de ce même Kinkela. En face, Feurs ne craquait pas physiquement et se créait même encore des occasions sans pour autant véritablement inquiéter le portier adverse. Les minutes s’écoulaient en faveur des locaux. Quinze puis dix… Paris, finalement peu inspiré dans le jeu, trouvait la parade sur coups de pieds arrêtés. Sur l’un d’entre eux, Houri, esseulé au second poteau, profitait d’une déviation de la tête au premier poteau pour crucifier Johan Balouzet. Stupeur au stade Rousson qui voit ses protégées se faire sortir de la compétition. Plus que cinq minutes à jouer. Les joueurs d’Hervé Didier jettent toute leur force dans la bataille. 89e minute, « Toto » Tixier récupère le ballon dans la surface avant d’enchaîner par une frappe tendue. Tout le monde croit au but, sauf le gardien francilien qui sort le ballon du bout du pied. Feurs a laissé passer sa chance d’emmener le « favori » en prolongations, mais sort tout de même la tête haute de la compétition après avoir fait jeu égal avec le Paris FC. Reste aux Foréziens de ne pas trop tergiverser. Premier élément de réponse samedi prochain pour un match en retard et la réception d’Annecy.

G.C.

La feuille de match
A Feurs, Stade Rousson
US Feurs – Paris FC : 0-1
Spectateurs : 1500
But : Houri (82e) pour le Paris FC

Les équipes
US Feurs : Balouzet – Bray (Bouabbeche, 86e), El Abbassi, Farge, Chergui – Granjon (cap), Riou, Lamrabtine – Ouaamari, Tixier, Second (Benaissi, 84e)
Entraîneur : Hervé Didier

Paris FC : Rhoufir – Boisseau, Ouehi, Diawara, Modeste (cap) – Sarr, Houri, David, Kinkela, Raddas (Blanc, 86e) – Mace (Gnahore, 66e)
Entraîneur : Jean-Guy Wallemme

Source : www.actufoot42

Les résultats à l'étranger du week-end du 16 décembre 2007, en cliquant sur ce lien

Voici le tirage au sort intégral des 32èmes de finale de la coupe de France, avec l'entrée en lice des clubs de Ligue 1.
En bleu, les clubs où des Anciens Joueurs de l'ASSE sont présents.

quelques résumés de rencontres de la saison 1992-1993.

ASSE-Epinal (Coupe de France 92-93)

ASSE-OM (Quart de finale de la coupe de France, 92-93)

ASSE-Nantes (Championnat de France 92-93)
 

L’ancien Stéphanois Romain Raynaud est à 24 ans en tête du National avec Vannes. Club surprise du championnat, le VOC, qui affronte Cherbourg samedi, espère également surprendre en Coupe de France. 
 

Romain Reynaud, Vannes, leader du National et équipe souvent surprise en Coupe de France, s’offre une belle fin d’année 2007 en jouant le 8eme tour contre Cherbourg (National) puis en se mesurant dans un choc à Sète en championnat…
Oui. Vannes va bien. En juillet, on était tous là pour assurer le maintien. Le coach avait pour objectif de faire un petit peu mieux que l’année dernière. Après un début de saison avec deux matchs perdus, on s’est retrouvés, on a parlé et on a trouvé une cohésion qu’on n’avait peut-être pas. Depuis, tout va bien. Avant le dernier match contre Louhans-Cuiseaux, nous voulions gagner pour être sûrs d’être champions d’automne à Noël. C’est fait. Maintenant, samedi, on a un match qui nous tient à cœur car Vannes est un club qui joue tout le temps la Coupe de France à fond. On va essayer de passer contre Cherbourg.

Vannes semble aussi être une équipe de Coupe en National puisque les matchs nuls sont rares avec vous…
Avant de vouloir gagner, nous voulons surtout ne pas perdre. On essaie d’abord de ne pas prendre de but car on sait qu’avec nos individualités et notre force collective, on marque souvent. Rares sont les matchs où nous n’avons pas mis de but. Le coach est à fond pour le jeu. Il ne va jamais nous faire jouer à sept ou huit derrière. On essaie de jouer et de faire du beau jeu. Ça se retrouve dans les propos des entraîneurs adverses. On nous dit qu’on joue bien au ballon. Vannes jouait très bien au ballon il y a deux ans mais n’avait pas ce brin de chance et de réussite. Ça explique pourquoi nous gagnons plus de matchs que les années précédentes.

En tant que défenseur, comment vivez-vous dans cette équipe portée vers l’avant ?
Quand on a des joueurs comme ça devant et au milieu qui font ce qu’ils font depuis le début de saison, le coach nous rappelle que les défenseurs sont là pour défendre avant tout, pas pour faire des passes décisives. Notre but est de ne pas prendre de but et de récupérer vite le ballon pour le donner devant le plus simplement possible.

Si vous battez Sète la semaine prochaine, Vannes devra dévoiler une nouvelle ambition : la montée en Ligue 2...
La montée serait fabuleuse. On nous sollicite beaucoup sur ce sujet mais pour être franc, pour l’instant, on n’ose pas trop y penser. Notre objectif reste encore le maintien même si, sauf grosse catastrophe, il est assuré. Dès qu’il sera assuré, on pourra jouer encore plus libérés. Beaucoup de gens disaient « Vannes, c’est un feu de paille » quand on a fait notre série de sept victoires de suite. Ils disaient que ça ne durerait pas. La peur qu’on avait, c’était après les deux défaites après cette série… Mais on a vu la force du groupe puisqu’on a réajusté le tir en gagnant contre Romorantin, Martigues et Louhans-Cuiseaux. Pour l’instant, on ne pense pas complètement à la montée : on verra en janvier ou février.

Pour un joueur qui a fait son apprentissage à Saint-Etienne en centre de formation, la possibilité d’évoluer en L2 doit constituer un objectif…
Le coach insiste beaucoup sur ce truc-là. Il y a beaucoup de joueurs revanchards qui n’ont pas connu le haut niveau. On vit super bien ensemble et au fond de nos têtes, ça serait faux de dire qu’on n’y pense pas un petit peu à la L2. Ça serait vraiment le top pour le coach, le staff, le club et nous. Par rapport à la première partie de saison qu’on a faite, on y pense forcément un petit peu. Beaucoup de gens nous disent que c’est énorme ce qu’on fait. Mais on n’a pas la pression que peuvent avoir Sète ou Tours.

La pression est plutôt positive chez vous. On ne vous attendait pas à pareille fête…
On ne pourra pas avoir de mauvaise pression. Le coach nous protège de tout ça. Il connaît les objectifs qui sont fixés. Ce n’est que du bonheur. C’est la première année qu’on parle autant de nous.

Pour vous, c’est aussi une petite revanche quelque part ?
Personnellement, je n’en veux pas à Saint-Etienne. C’est le foot, c’est la vie. Peut-être est-ce moi qui n’a pas fait les efforts suffisants ? On ne saura jamais. Mais ça me fait plaisir quand les entraîneurs qu’on a eu au centre de formation voient nos noms dans les équipes et se disent « bah merde ». C’est une certaine fierté qu’on a avec mon pote Sammaritano. On était à Yzeure l’année dernière. Lui, il a fait toutes ses classes à Nantes et a été champion d’Europe chez les jeunes avec la France. C’est le seul à ne pas être en Ligue 1 ou Ligue 2 alors que Gourcuff est au Milan AC. Beaucoup de joueurs passés en centres de formation comme nous n’ont pas été gardés…

Olivier DE LOS BUEIS
www.football365.fr

Jérôme Alonzo, le gardien remplaçant du Paris-SG qui sera en fin de contrat en juin prochain, a déclaré mercredi qu'il aimerait terminer sa carrière par un dernier défi à l'étranger. «Je me doute que le club (parisien) ne me proposera rien. Je ne revendique rien, si je m'en vais du PSG par la petite porte, comme j'y suis arrivé en 2001, ça m'ira très bien, a-t-il avoué. Mais je me donne encore deux ans pour jouer. J'aimerais bien tenter une expérience à l'étranger, que ce soit en Espagne ou en Angleterre. Ici on me reproche mon salaire mais à l'époque où j'ai signé ma prolongation de contrat, j'étais titulaire et mon salaire était en conséquence. Et on oublie de dire que quand je suis arrivé au club, je gagnais pareil qu'un joueur de National».

Le joueur, malgré six ans de fidélité au club de la capitale, n'entre visiblement plus dans les plans des dirigeants. «N'ayant pas fait un seul match officiel en 2007, ma position s'est fragilisée et j'ai beaucoup moins de légitimité, a-t-il confié. Je suis passé du statut de cadre à celui d'observateur. D'ailleurs, aujourd'hui, quand il y a une réunion des cadres, je n'en fais même plus partie. On m'a doucement fait comprendre que j'avais fait mon temps». (Avec AFP)

Source : L'Equipe

Voici quelques buts en vidéo de la saison 1991-1992.
Au programme aujourd'hui :
Metz-ASSE

ASSE-Nantes

ASSE-Monaco

Fred, on parle souvent pour expliquer les bons résultats d’un amalgame réussi entre expérience et jeunesse…
Il y a un très bel équilibre qu’on n’avait pas l’an dernier pendant les six premiers mois. On a commencé à le trouver en janvier avec les arrivées de Letizi et Laslandes, qui nous ont apporté leur expérience. La vie de vestiaire est importante, donc on a essayé de corriger ça avec Roger Ricort. Après, les circonstances décident. On récupère un Hognon parce qu’il est libéré par St-Etienne et que j’ai la chance de l’avoir entraîné et de bien le connaître, un Jeunechamp qui correspond bien au profil niçois, Echouafni est là depuis pas mal de temps, un Rool… On parle souvent de leur âge, mais il faut surtout souligner leur compétitivité. L’âge, c’est important pour l’expérience et la gestion des matches. Mais avant tout ils sont bons, sinon ils ne joueraient pas. Je préfère retenir que nous avons une équipe saine et très compétitive.

L’autre jour à la maison d’arrêt, vous souligniez la part du public dans le maintien l’an dernier…
(Il coupe) L’an passé ça aurait pu partir complètement en vrille, c’était très confus comme situation. Et le public a montré l’exemple. Sans son soutien, il était impossible de se maintenir.

L’an dernier vous disiez que pour avoir une équipe de caractère, il ne suffit pas d’aligner onze joueurs agressifs…
Mais c’est quoi une équipe de caractère ? Il faut d’abord donner une définition. Prenons l’exemple de Lyon-Barça cette semaine : je peux vous dire que les deux équipes étaient de caractère, pourtant sur le terrain ça ne manquait pas de techniciens. Et dès qu’ils perdent le ballon, vous les voyez presser, harceler. Au plus haut niveau, on ne peut pas faire un cercle de 2m2 et dire : « Moi je suis bon techniquement, je ne cours pas ». Ça n’existe plus. Aujourd’hui, il y a une grande intensité dans le jeu, une grande détermination, dans la récupération du ballon comme dans les attaques. Lyon est sans conteste l’équipe la plus agressive du championnat. Et Juninho, qui passe pour un technicien, le joueur le plus agressif de Ligue 1.

On souligne souvent que vous avez cette saison une « équipe d’hommes », à votre image…
On se fait respecter par notre football, je crois. Notre équipe réagit, ne se laisse pas faire, mais en respectant son adversaire et en jouant au ballon. Le reste n’est que clichés. On regarde le match, comment ça se passe, si l’équipe peut aligner des actions à cinq ou six passes, subir, placer des contres… C’est ça le football.



Malgré son faible budget, Nice occupe la 5e place…
Il ne faut pas regarder sur un an mais sur dix : plus vous avez de moyens, plus vous avez de chances d’être dans les premiers. Faites un classement sur dix ans, vous verrez : il va sortir dix équipes, et toutes les autres montent et descendent. Après on dit que l’argent ne sert à rien. Moi je veux bien mais… J’ai vu que Paris allait prendre trois à quatre joueurs au mercato. Nous l’année dernière quand on était dans la panade il a fallu s’en sortir autrement.

Comment recruter cet hiver sans déstabiliser le groupe ?
C’est toute la question. Le mercato d’hiver est un marché de rééquilibrage, mais en plus il y a la CAN. Sinon, je pense qu’on ne bougerait pas. Là, il nous faut un défenseur central. Il y aura toujours des opportunités de jeunes, de joueurs à relancer. Si on peut anticiper de six mois le recrutement de juin… L’année dernière, mal classés, on n’a pas pu le faire. Beria, en fin de contrat, a signé à Lille. Si on avait eu les arguments de cette année, peut-être serait-il chez nous.

D’après vous, le club est-il médiatiquement maltraité ?
Maltraité c’est trop fort. Je dirais sous-traité. Mais ça ne me dérange pas car on a tendance à trop s’enflammer dans le Sud. Pour moi c’est un bon traitement car il me permet de travailler sereinement. Si on veut être reconnu au niveau national, il faut montrer qu’on veut faire un très bon club et pour ça, faire un stade.

On parle souvent à Nice de cycles de trois ans…
Pas moi. Je peux parler du prochain match mais pas d’un cycle de trois ans. Ca reste toujours très fragile. Regardez le classement (il saisit le journal) : on a 6 points de plus que le 16e. Deux victoires, c’est rien ! Si on est 16e, les gens ne parlent pas comme ça.



Pour autant, vous vous inscrivez dans la durée…
 J’ai choisi Nice pour son potentiel. J’ai une âme de bâtisseur. Je travaille dans un club comme si j’allais rester dix ans. Sans me faire d’illusions : je n’oublie pas que l’an dernier, pendant 48h, je n’étais plus entraîneur de Nice. Vous savez j’ai une dizaine de joueurs qui font deux entraînements de plus, c’est-àdire de la post-formation. Si je ne m’inscrivais pas dans la durée, je resterais chez moi. Ce n’est pas moi qui vais en profiter, c’est l’OGC Nice. Quand j’ai pris Perrin et Gomis à St-Etienne, c’était des anonymes que je n’ai pratiquement pas fait jouer. C’est le club qui en profite : aujourd’hui ce sont deux titulaires à part entière. Ces joueurs-là, en post-formation, quand ils seront prêts, dans 3 ou 4 ans, ce n’est peut-être pas moi qui les entraînerai.

Aujourd’hui votre image dans les médias est galvaudée ?
Un peu. J’ai fait quelques erreurs, c’est évident, notamment mes accrochages avec Vahirua et Bellion. Le contexte a joué, mais j’assume. Ça fait partie de mon personnage même si c’est caricaturé. Je pense avoir d’autres qualités car sinon je ne serais plus entraîneur depuis longtemps. Quand on dit la vérité, ça marque plus que la langue de bois.

Êtes-vous un homme heureux ?
Je l’étais l’an dernier aussi car je le suis dans ma vie de famille et c’est le plus important. Même si professionnellement j’étais en difficulté, les difficultés ne m’ont jamais fait peur. Je savais qu’on allait se maintenir. Ce n’était pas des phrases en l’air car on avait de vrais arguments.

Source : Actufoot06, N°254

Helder Postiga (Porto) continue sa route en Ligue des champions. Porto termine premier après avoir battu Besiktas 2/0. Postiga est entré en jeu à la 73ème minute.
Diatta (Besiktas) termine dernier de son groupe et a donc terminé sa campagne européenne.

Dans le groupe B, Kwarme (Rosenborg) pour son dernier match en professionnel a perdu à Schalke 04, sur le score de 3 buts à 1.
Il était titulaire au coup d'envoi. Rosenborg est reversé en coupe de l'UEFA au printemps prochain.

Retrouvez tous les résultats de nos anciens joueurs évoluant en-dessous du CFA en cliquant sur ce lien.

Toujours disponible dès qu’on le sollicite, Anthony Losilla s’est prêté au jeu de l’interview en vrac. L’occasion d’évoquer sa situation personnelle et celle de l’équipe



Cannes-Cherbourg
C’est un succès qui fait énormément de bien à toute l’équipe car on l’attendait depuis un moment. Le goût de la victoire nous manquait. On savait que l’on avait les qualités, mais nous étions à la recherche de ce match-référence. Il y a eu la manière et le score contre une équipe qui avait la deuxième meilleure défense du championnat. On a vu de bonnes choses.

Ton positionnement sur le terrain
À Saint-Etienne, je jouais le plus souvent au milieu de terrain. Je connais un peu ce poste…Même si j’ai plus souvent été défenseur central la saison dernière, j’ai aussi fait quelques apparitions au milieu. Je m’y sens bien car on participe au jeu offensif.

Le capitanat
Le coach m’a demandé si je voulais prendre le capitanat pour le match de Créteil. Je m’entends bien avec le groupe. Cela me permet de mieux m’affirmer, même si je pense que dans l’équipe, tout le monde peut avoir ce rôle de relais, de porte-parole.

Ta blessure au nez
 Je m’habitue à jouer avec le masque. Il vaut mieux cela que ne pas jouer du tout. Le problème c’est qu’à chaque fois que je reprends un coup dessus, cela repousse le délais de cicatrisation. Mais le principal, c’est que je puisse jouer…

La suite de la saison
Cela va dépendre de nos deux prochains matches. Si on les gagne, on pourra recoller. Si on les négocie mal, ce ne sera pas la même situation. La victoire contre Cherbourg fait du bien. On a confiance en nous. Il faut tout faire pour se mettre en bonne position avant d’entamer cette deuxième partie de saison.

L’AS Cannes
C’est un club qui m’a fait confiance dès le début. L’AS Cannes est un club historique, autour duquel il y a tout en engouement et une attente particulière. Les objectifs vont en ce sens. Avec le président et le nouveau staff, tout le monde travaille pour réussir. Et on aimerait que cela paye.

Source : Actufoot254

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Il espérait sans doute débuter le match contre Duisbourg mais Willy Sagnol se sera contenté d'une vingtaine de minutes pour sa première apparition en Championnat depuis sa blessure au genou droit en avril. Le défenseur français du Bayern Munich a remplacé Christian Lell mais n'est pas parvenu à dynamiser son équipe, étrangement amorphe, pour son premier match en Bundesliga depuis huit mois. Le match de samedi pourrait toutefois être sa dernière rencontre devant le public bavarois. Mécontent de l'attitude de l'entraîneur, Ottmar Hitzfeld, à son égard, le défenseur de 30 ans a demandé à quitter le club bavarois, son club depuis 2000, lors de la réouverture du marché des transferts, en janvier.

Source : l'Equipe

Possédant la double nationalité franco-sénégalaise, Ibrahima Sonko avait longtemps espéré être appelé chez les Bleus et refusait les sélections avec le Sénégal. A l'approche de la CAN à partir du 20 janvier, le défenseur central de Reading change de discours et assure qu'il répondrait favorablement à un appel des Lions de la Téranga. «S'ils m'appellent, j'aimerais y aller. Je pense que l'entraîneur (de Reading Steve Coppell) comprendrait. J'ai 26 ans et il est temps pour moi de commencer à jouer au niveau international», a expliqué Sonko.
 

Essentiel dans la montée de Reading en mai 2006, Sonko s'était gravement blessé à un genou l'hiver dernier après une bonne première moitié de saison. Il a repris la compétition en octobre. «Cela va prendre du temps avant que je me sente vraiment bien. Je vais devoir être patient», a déclaré Sonko. (Avec AFP)

Source : l'Equipe

Grégory Coupet reprendra la compétition samedi. Le gardien de but de l'OL, absent depuis le 2 août dernier après s'être fait une rupture du ligament latéral interne du genou gauche, retrouvera les terrains face à Croix-de-Savoie (CFA), avec la réserve lyonnaise.

Contrairement Ã  ce qu'il pensait initialement, Coupet ne sera en revanche pas du déplacement de mercredi à Glasgow en Ligue des Champions.

Source : Football365

Jacques Santini, serait en discussions avancées avec Al Ahly, un club émirati basé à Dubaï. L'ancien sélectionneur de l'équipe de France et entraîneur de Lyon, âgé de 55 ans, est sans club depuis son départ de l'AJ Auxerre où il n'était resté qu'une saison (2005-2006). Ancien joueur de la grande équipe de l'AS Saint-Etienne (1969-1981), quatre fois champion de France, vainqueur de la coupe de France à deux reprises et finaliste de la Coupe d'Europe des clubs champions (1976), il a aussi évolué à Montpellier (1981-1983). Il a entraîné les clubs de Toulouse, Lille, Saint-Etienne, Sochaux et Lyon. Il a également eu une courte expérience au club anglais de Tottenham Hotspurs après son départ de l'équipe de France (2004).

Source : L'Equipe

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- Aloisio termine champion du Brésil avec Sao Paulo

- Fluminense, club d'Alex et Luiz Alberto finit 4ème de son championnat et décroche une place pour le tour préliminaire de la Copa Liertadorès. Luiz Alberto était capitaine le week-end dernier et devrait rester à Flu, ce qui n'est pas le cas d'Alex qui ne joue plus depuis quelques rencontres.

- Enfin, Rodrigao avec son club Palmeiras n'ont pas pu résister à la pression et terminent finalement 7ème du championnat après avoir étét longtemps 4ème ou 5ème.
 

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Propos recueillis par Jacky Clavel
Le Progrès du vendredi 30 novembre